Changement dans l’entreprise
Le monde de l’entreprise est très varié : agroalimentaire, services à la personne, nouvelles technologies de l’information, industrie, btp, santé, gestion… chacun base son activité sur un socle solide de savoir-faire qui évolue au gré des innovations et du marché. Cependant entre toutes ces activités on retrouve un dénominateur commun : Le changement.
Changement volontaire ou subi
Le changement est permanent, dans l’entreprise : nouveaux produits, nouveaux marchés, recherche et développement, innovation, nouveau personnel, nouvelles technologies. Cela demande une grande adaptabilité aux dirigeants comme aux salariés. Apparition du numérique, d’internet, de l’intelligence artificielle, de la robotisation. Tout cela a profondément modifié notre rythme de fonctionnement, tout en questionnant notre place dans un système où l’humain doit faire ses preuves, sans forcément avoir une place claire.
Il est de la responsabilité du chef d’entreprise actuel de réfléchir à cette accélération du changement. Car s’il peut être motivant dans certains cas, il est souvent synonyme de stress, avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne. Il est donc nécessaire de comprendre les mécanismes du changement, afin de pouvoir redonner confiance et créativité à ses équipes. Il est essentiel de passer de l’heure du changement subit au changement acceptable et accepté.
Mais savez vous comment l’humain ressent le changement ?
Un livre vient d’ailleurs d’être publié, Changer sa vie avec l’allassopraxie, qui permet de comprendre ce qu’est le changement, comment le vivre de manière plus sereine au niveau personnel ou professionnel.
De nombreux témoignages de salariés, montrent qu’ils ne sont pas fermés aux changements, mais que trop souvent ceux-ci leur sont imposés, dans un délai qui leur semble trop court. Ils n’ont surtout pas de réelle visibilité sur ce que ces changements entraîneront pour eux à l’avenir. Même sans avoir une vision globale pointue de la stratégie de l’entreprise, les salariés regrettent souvent de ne pas être associés à un projet global compréhensible.
Le changement est physiologiquement parlant générateur de stress. Il active les mêmes parties du cerveau que la peur. On peut délibérément ignorer ces faits, mais il ne faut donc pas s’étonner ensuite des complications qui surviennent. À l’inverse, un travail personnel et collectif de réflexion sur le changement, peut devenir une façon de stimuler un groupe.
Le décideur devrait donc en premier lieu se former lui-même aux techniques du changement. Puis, avec empathie et efficacité, partager des techniques assez simples pour permettre à chacun d’améliorer cette expérience.
Dans une négociation, le changement est permanent. Le négociateur doit sans cesse s’adapter aux clients. Pas un jour ne se ressemble, pas un client n’est le même, chaque contrat demande d’être attentif et sensible à chaque détail. Concurrence, conjoncture, état de l’économie locale ou internationale, humeur, climat tout peut influer sur une négociation.